Lumières sur Switch To Happiness

Fondé en 2011, Switch To Happiness a débuté sous le nom de Target Scène. Influencé par la vague pop punk californienne, le groupe parisien fait découvrir son univers musical au travers de ses concerts. Il s'est notamment produit aux côtés de formations comme Mest, From Down To Fall ou encore The Earl Grey. En studio pour préparer la sortie de son premier album, la formation vous donne rendez-vous sur scène pour présenter ses compositions. En attendant, découvrez « I Hate The Way You Love » dans la vidéo ci-dessous :

LE GROUPE :

    Chant : Raph

    Guitare : Math

    Guitare et synthé : Nico
    Basse : Seb
    Batterie : Kev

    Style : Pop punk californien

ALBUM OU MAXI :

    Un CD 2 titres et un maxi acoustique. Album en cours de réalisation

INFLUENCES :

    Good Charlotte, Green Day, Guns N'Roses, American Hi-Fi

CONCERTS :
     Cuizines (Chelles) dans le cadre du Sidaction (date à caler)

EN UN MOT :

     On s'éclate et on aime partager notre vision de la musique

 

LES TROUVER SUR LA TOILE :

     Facebook : http://www.facebook.com/switchtohappiness
     MySpace : http://www.myspace.com/switchtohappiness

 

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Chronique : Green Day - "¡Uno!"

L'annonce de la sortie de trois albums en six mois avait à la fois suscité la curiosité et l'impatience mais également un certain scepticisme auprès des fans de Green Day. Allait-on avoir droit à du remplissage et trois disques inégaux, des albums concepts, ou bien la chance de pouvoir se délecter de trois nouveaux disques de qualité en l'espace de quelques mois ? Alors que Green Day était à en clôture de Rock en Seine fin août, il est possible de répondre en partie à cette question avec la sortie de «  ¡Uno! », qui sera suivie fin novembre par « ¡Dos! » et enfin fin janvier par « ¡Tré! ». Si je dois dire qu'au début le visuel choisi par le groupe - à savoir leurs têtes prises en photo avec un smartphone puis retravaillées avec des couleurs fluo - m'avait peu convaincu, au final il se révèle plutôt sympathique et cohérent. S'il est vrai que Green Day avait déjà distillé la moitié du disque depuis quelques semaines, essayons de redécouvrir l'album comme s'il s'agissait d'une première écoute. Une impression de cohérence et d'homogénéité se dégage d'un disque d'une quarantaine de minutes.

« Nuclear Family » lance les hostilités : bien pêchu, un peu à l'ancienne, avec un bon solo de basse en plein milieu, ce morceau fleure bon le stylé passé que beaucoup de fans louent très régulièrement. Pas le temps de respirer que nous retrouvons « Stay the Night », un titre joué à Rock en seine, qui garde toute son efficacité en version studio, avec un bon refrain et un petit « Hey Oh » des familles de Billie Joe que certains n'en peuvent plus d'entendre. Un certain aspect live se dégage du disque comme si des titres étaient parfois nés à l'issue de sessions jam ou autres impros. Moins de fioritures et davantage de spontanéité ravirons ceux qui n'avaient pas apprécié le style opéra-rock de « American Idiot » et « 21^st Century Breakdown ». Après « Carpe Diem », qui n'est pas un mauvais titre mais qu'on a l'impression de déjà avoir entendu chez Green Day, voilà que déboule « Let Yourself Go », un morceau bien punk qui bouge pas mal et qu'on est impatient de voir en live. « Kill the DJ » est certainement le titre le plus surprenant du disque et dénote au sein du reste des morceaux. Sympathique avec son style pop dansant à la Franz Ferdinand, il ne reflète pas la tonalité générale du disque plus rock et proche du son de Green Day qu'on connaît, voire du son de ses albums pré- « American Idiot ».

« Fell For You » laisse également un petit air de déjà vu mais un refrain qu'on retient aussi facilement n'est-il pas gage de la réussite d'un morceau ? Après « Loss of Control » pas très surprenant et « Troublemaker » plutôt faible, on se réveille avec « Angel Blue » et son rythme effréné. Le calme surgit sur « Sweet 16 », une composition plutôt pop au bon parfum d'été. Après « Rusty James », clone très mal caché de « ¡Viva la Gloria! », le disque se clôt avec « Oh Love » et son style stadium rock efficace. Si le changement, c'est maintenant, pour Green Day, on parlera de changement dans la continuité avec « ¡Uno! ». Un bon disque rock, qui s'inscrit correctement dans la discographie du groupe sans être une pièce maîtresse non plus. Serons-nous plus surpris par « ¡Dos! » et « ¡Tré ! » ? Réponse dans les mois à venir.

Tracklist

1. Nuclear Family

2. Stay the Night

3. Carpe Diem

4. Let Yourself Go

5. Kill the DJ

6. Fell For You

7. Loss of Control

8. Troublemaker

9. Angel Blue

10. Sweet 16

11. Rusty James

12. Oh Love

La sélection de Rock'n'Live : 

« Nuclear Family », « Stay the Night », « Let Yourself Go », « Kill the DJ » et « Oh Love ».

Retrouvez ci-dessous le clip de « Nuclear Family » :

Lumières sur We Fall As One

Formé en 2012, We Fall As One est un groupe parisien de pop punk hardcore composé de quatre membres. Comme son nom l'indique, la devise du combo pourrait être : "Un pour tous, tous pour un !". Au travers de sonorités à la fois joyeuses et lourdes, la formation tient à porter un message de fraternité avec sa musique à l'image de l'amitié qui unit chacun de ses membres. Un maxi est en cours de réalisation et est attendu début 2013. Des concerts seront également bientôt programmés. Avant de pouvoir découvrir We Fall As One en live, voici un aperçu de leur maxi à venir :

LE GROUPE :

    Chant : Toni S. Ballestri

    Guitare et choeurs : Stane Jackson

    Guitare : Jean-Baptiste Mongin
    Basse : Arthur Vatinel

    Style : Pop punk hardcore

INFLUENCES :

    A Day to Remember, City Lights, Four Year Strong, Hit the Lights

EN UN MOT :

     Friendship never ends.
 

LES TROUVER SUR LA TOILE :

    Facebook : http://www.facebook.com/WFAOfficial
   Twitter : http://www.twitter.com/WFAOne

   Youtube : http://www.youtube.com/WFAOne

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Chronique : The Gaslight Anthem - "Handwritten"

Honte à moi de ne pas avoir découvert The Gaslight Anthem bien plus tôt qu'à l'occasion de la sortie de ce quatrième album intitulé « Handwritten ». C'est bien simple, depuis sa sortie au mois de juillet, je l'écoute presque en boucle tous les jours ! Alors pour ceux qui ne connaissent peu ou pas ce groupe, sachez qu'il s'est formé en 2006 et qu'il vient du New Jersey. Emmené par son chanteur au visage poupon et à la voix rauque, Brian Fallon, The Gaslight Anthem propose avec « Handwritten », le meilleur album rock de l'année 2012 à mon goût. Tant d'éloges, me direz-vous méritent peut-être quelques explications. Alors penchons-nous sans plus tarder dans les entrailles du disque.

D'entrée de jeu, le disque démarre avec « "45" », un single imparable et énergique dont le refrain nous rentre immédiatement dans la tête. Pas le temps de souffler que « Handwritten » et ses « who oh »,en guise d'introduction, nous prennent à la gorge. Le rythme ne faiblit pas et on se demande combien de pépites vont remplir l'album. La voix délicieusement rauque de Brian Fallon, en digne héritier de Bruce Springsteen, fait des merveilles tout au long de l'album. Après le brut « Here Comes My Man », « Mulholland Drive » et ses riffs ravageurs ont tout du petit tube à venir. Le calme revient un peu le temps d'un « Keepsake » au style un brin country avec un coup d'harmonica au passage.

Les guitare resurgissent sur « Too Much Blood », un morceau rock pur jus au tempo plutôt lent. « Howl » vient par la suite réveiller ceux qui se seraient endormis avec son rythme effréné de bout en bout, qui donne furieusement envie de bouger. Avec « Desire », The Gaslight Anthem tient également un morceau au fort potentiel qui devrait être repris par le public avec ses « who oh oh, oh oh oh oh oh ». Je tiens les paris que le groupe sera en tête d'affiche de nombreux festivals rock dès l'été 2013, si ce n'était pas déjà le cas cet été ! L'album se clôt sur une note plutôt lente avec les ballades « Mae » et « National Anthem » , preuve que la formation sait également tirer son épingle du jeu dans un registre plus doux. « Every word handwritten ». Des mots couchés sur un bout de papier, un riff, une mélodie, du sang, de la sueur, des rires, des larmes... Un putain de bon disque de rock un point c'est tout.

Tracklist

1. « 45 »

2. Handwritten

3. Here Comes My Man

4. Mulholland Drive

5. Keepsake

6. Too Much Blood

7. Howl

8. Biloxi Parish

9. Desire

10. Mae

11. National Anthem

La sélection de Rock'n'Live : 

« "45" », « Handwritten », « Mulholland Drive », « Howl » et « Desire ».

 Retrouvez ci-dessous le clip de « Handwritten »:

Lumières sur No Detail

 

Funky hard rock végétarien : voici comment est résumé No Detail par son chanteur et bassiste Quentin. Créé en 2012 à Noisy-le-Grand (93), le groupe se compose également de Lionel et Cyprien aux guitares, deux amis, ainsi que du batteur Yannick, rencontré par Quentin au conservatoire. Aussi bien influencé par le blues, le heavy metal, la funk et le punk rock, le quatuor propose un cocktail mélodique et puissant de toutes ses inspirations. No Detail a donné son premier concert, deux mois à peine après sa formation, à l'occasion de la Fête de la Musique. Retrouvez ci-dessous, une vidéo de cette prestation avec les morceaux "Intro" et "Endless Nights" :




LE GROUPE :

    Chant et basse : Quentin Le Rouzic

    Guitare : Lionel Sayada

    Guitare : Cyprien Corgier
    Batterie : Yannick Carlsen

    Style : Funky hard rock végétarien

INFLUENCES : 

    Guns N'Roses, Aerosmith, The Ramones, Metallica, Nirvana, Kiss, AC/DC, Dire Straits, The Offspring, NOFX, Linkin Park, MxPx

CONCERT :
      01/11/12 à l'OPA Bastille
 
EN UN MOT : 

     Du rock à l'improviste et du fun dans la vie.
 

LES TROUVER SUR LA TOILE :

    Facebook : https://www.facebook.com/pages/No-Detail/415766338479899
   MySpace : http://www.myspace.com/no-detail

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Lumière sur By Wrong Light ?

Groupe pop punk originaire d'Annecy, By Wrong Light ? s'est formé en 2009 autour de Julien Lamblin et Johann Métral, rapidement rejoints par les jumeaux Alexandre et David Vasseur. Après avoir écrit ses premières compositions et donné plusieurs concerts, le combo a sorti un premier maxi en 2012 intitulé "Back to California". Retrouvez une vidéo live de leur single "By Wrong Light" à l'occasion de la Fête de la Musique :

LE GROUPE : 

    Chant et guitare : Julien Lamblin

    Chant et guitare : Alexandre Vasseur

    Basse : David Vasseur
    Batterie : Johann Métral

    Style : pop punk

ALBUM OU MAXI :

    Back to California (2012 - Maxi 5 titres)
 

INFLUENCES : 

    Good Charlotte, All Time Low, Simple Plan, Yellowcard, blink-182

EN UN MOT : 

    Pour tout les fans de pop punk californien comme blink-182 et Good Charlotte, By Wrong Light ? est présent sur la scène française pour vous faire passer de bonnes soirées et faire la fête comme nous savons le faire !
 

LES TROUVER SUR LA TOILE :

    Facebook : www.facebook.com/bywronglight
   Site officiel : www.bywronglight.fr

   MySpace : www.myspace.com/bywronglight
   Twitter : www.twitter.com/bywronglight

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10 ans de Rock'n'Roll ! (Green Day - 26/08/2012 - Rock en Seine)

Trois ans après ses passages au Trabendo et à Bercy et deux ans après son show au Parc des Princes, Green Day a signé un retour tonitruant en clôture de Rock en Seine dimanche soir. Durant la file d'attente pour entrer sur le site du domaine national de Saint-Cloud, de nombreux fans ont sorti leurs tee-shirts à l'effigie du trio punk rock californien. A 13h pétantes, quand les portes se sont ouvertes, les plus aguerris se sont dirigés en courant vers la grande scène pour pouvoir être au premier rang pour le concert du soir. Il n'y a finalement pas eu la cohue attendue au stand FNAC puisque le groupe avait annulé au dernier moment son concert au Trianon prévu le lendemain de sa prestation au festival. Avant de parler du show de la formation, revenons rapidement sur les autres concerts que nous avons pu suivre. 16H25 : les Parisiens de Stuck in the Sound ont investi la grande scène et n'ont pas manqué de rappeler avec fierté qu'ils étaient programmés en Avant Seine en 2005 et qu'en 2012, ils jouaient désormais dans la cour des grands. Avec un set bien pêchu d'une heure qui a fait bouger le public, le groupe devrait sans nul doute s'affirmer comme une valeur sûre à l'avenir et on prend les paris qu'on les verra un jouer au festival jouer en soirée et non plus l'après-midi.

Après avoir assisté à la fin du show des sympathiques Waterboys, avec Cali en guest pour le dernier morceau, nous nous sommes dirigés vers la scène Pression Live pour suivre la création Avant Seine All-Stars. Si les reprises n'ont pas toutes été de qualité égale, la bonne humeur entre les groupes lors d'un « Hey Ya » final bien sympa a facilement remporté l'adhésion du public. Mention spéciale à la troupe Airnadette qui a assuré une transition entre les groupes assez drôle. Après avoir vu de loin la fin de Social Distorsion, qui a visiblement assuré un bon set, et englouti un burger, il était temps de sa caler pour Green Day dont le début des hostilités était fixé à 21h30. On peut de suite rompre le suspense et affirmer que nous n'avons pas été déçus. En maître de cérémonie en très grande forme, Billie Joe Armstrong a assuré un show dantesque pendant près de 2h. Courant aux deux côtés de la scène, rigolant avec ses musiciens, se roulant par terre et haranguant la foule comme jamais, le chanteur du groupe est un véritable showman, habité comme un éternel ado. Qu'on aime ou pas le style, on ne peut que saluer sa générosité. Si ses « Hey Oh » et « Are you ready » ont pu énerver à la longue, il n'a pas son pareil pour capter le public.

Entamé avec « Welcome to Paradise », le concert n'a pas baissé de rythme et offert la part belle à l'album « Dookie » puisqu'on a pu entendre également « Burnout », « Longview », « She », « When I Come Around » et le mythique « Basket Case ». « It's not a fucking party, it's a celebration ! », a crié Billie Joe Armstrong. C'est peut-être la phrase qui a résumé le mieux la soirée. Fidèle à ses habitudes, Green Day a sorti la machine à PQ, le tuyau d'arrosage, le lance-teeshirts et ses accessoires de fête pour enchaîner « King for a Day » et un medley comprenant « Shout », « Stand by Me », « Hey Jude » et une petite phrase de « We Are Young » de Fun. Pendant ce joyeux bazar, chaque membre a également chanté un petit bout pour l'anniversaire de l'épouse du bassiste Mike Dirnt. Mention spéciale au batteur Tré Cool qui lève décidément bien haut la jambe ! Le groupe a également joué le premier extrait de son album « ¡UNO! », « Oh Love », ainsi que « Stay the Night » et « 99 Revolutions », deux inédits qui ont très bien fonctionné en live. Groupies qui pleurent, ados qui pogottent, fans qui montent sur scène pour enlacer Billie Joe : on a eu droit à toutes les recettes d'un concert de Green Day. Alors qu'un fumigène s'est allumé dans le public, on a également pu entendre des petits bouts reprises de « Highway to Hell » d'AC/DC et « Rock'n'Roll » de Led Zeppelin. Grosse machine américaine qui fonctionne comme un rouleau compresseur à l'image de Disneyland, le groupe n'a pas son pareil pour électriser le public et a offert l'une des plus belles soirées de l'histoire de Rock en Seine aux dires de beaucoup. On en ressort toujours à la fois émerveillé comme un gamin et ému lorsque Billie Joe termine son set avec le traditionnel « Good Riddance », ses paroles résonnent alors encore dans nos têtes un long moment : « I hope you had the time of your life ». Un moment unique qu'on n'oubliera assurément jamais.

SETLIST 

1. Welcome to Paradise

2. Murder City

3. Know Your Enemy

4. Stay the Night

5. Oh Love

6. Holiday

7. Burnout

8. Hitchin' a Ride

9. Letterbomb

10. Highway to Hell / Rock'n'Roll

11. Brain Stew

12. St Jimmy

13. Boulevard of Broken Dreams

14. 2000 Light Years Away

 15. When I Come Around

16. Longview

17. Basket Case

18. She

19. King for a Day

20. Shout / Stand by Me / Hey Jude

21. Minority

Rappel

22. American Idiot

23. 99 Revolutions

24. Good Riddance (Time of Your Life)